Nous sommes dimanche, il fait froid, le paysage a blanchi. Petite pause cinéma tout en gardant un œil sur sa machine. Arte rediffuse sur son site La Discrète de Christian Vincent. Le film est sorti en 1990. Il fut le premier de ce réalisateur assez rare (8 longs-métrages en plus de 20 ans, le neuvième intitulé Les Saveurs du palais devrait sortir en 2012).
C’est une belle occasion de retrouver Juliette Henry qui, elle aussi, n’est pas hyper présente sur les grands écrans.
Une récréation au cœur de la nuit proposée par hatinhand, un utilisateur de YouTube cinéphile et compilateur. En effet, le garçon a sélectionné 166 films sortis en 2011 aux États-Unis et les a réunis dans une séquence de presque 8 minutes intitulée : The 2011 Portfolio.
6 chansons assurent l’enveloppe sonore de cet exercice de style, dont Grounds for Divorce d’Elbow.
Le voici. Il faudra vous connecter à la plateforme pour connaître tous les détails de cette réalisation et sur cette page pour obtenir la liste des films.
Cela fait un peu plus d’un an que je n’ai pas vu de gomme. Une année entière passée sans toucher du bout de la pulpe des doigts de jolis pains d’élastomère. Au bout de tout ce temps je me dis que le caoutchouc et son industrie sont derrière moi. Qu’il n’est pas possible que je sois rattrapé par tout cela (même si la petite entreprise vient parfois toquer à mon esprit).
Mais c’était sans compter sur le cinéma. Oui, il y a un film qui sort aujourd’hui, un film réalisé par un français un peu frappé, un film tourné là-bas, aux États-Unis. Il s’appelle comment ce film ? Rubber. Oui Rubber. Et il raconte quoi ce film ? L’histoire d’un pneu tueur. Il fallait s’appeler Quentin Dupieux pour avoir une idée pareille et la mettre en scène.
Il semblerait que l’objet plaise à la critique.
Voyons voir…
Allez, un autre extrait…
Tout cela a l’air fun. C’est tentant. Et puis, quoi de plus naturel pour un hamster que de s’amuser avec une nouvelle roue ?
Cela fait un peu plus d’un an que je n’ai pas vu de gomme. Une année entière passée sans toucher du bout de la pulpe des doigts de jolis pains d’élastomère. Au bout de tout ce temps je me dis que le caoutchouc et son industrie sont derrière moi. Qu’il n’est pas possible que je sois rattrapé par tout cela (même si la petite entreprise vient parfois toquer à mon esprit).